LA DRYLINE
New York
Le concept
DEUX COURANTS DE PENSÉE DERRIÈRE LE PROJET
Les équipes de BIG ont d’abord défini un cadre théorique en s’appuyant sur deux courants de pensée qui ont marqué la ville de New York. D’un coté, on retrouve la pensée fonctionnaliste et très pragmatique de Robert Moses et de l’autre, la pensée tournée vers l’humain et le social de Jane Jacobs.
Si ces deux pensées se sont affrontées durant les années 50-60, les équipes de Big ont décidé de les réunir autour de la Dryline. Comment associer à de l’infrastructure lourde des qualités de vie pour l’habitant ? C’est à travers cette question que la philosophie de Robert Moses et celle de Jane Jacobs se re-rencontre.
La réponse des équipes sera d’imaginer comment une protection simple, un mur, peut modifier la forme urbaine et générer des espaces pour se promener, faire différentes activités, se reposer, échanger, etc.
Image tirée d'Internet : https://savingplaces.org/stories/a-tale-of-two-planners-jane-jacobs-and-robert-moses#.Xe8OAehKiUl
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Inspiré de : BIG Team. « The Big U »
Après avoir été retenu pour le concours, les équipes de Big ont été poussées par le bureau du Maire de la ville à travailler dans un premier temps avec la rive Est de Manhattan. Cette dernière a subi, lors de la catastrophe Sandy, le plus de dégâts, tant sur le plan matériel que sur le plan humain.